Introduction
Les logiciels de généalogie sont au cœur de notre pratique généalogique. Ils permettent de centraliser les informations généalogiques trouvées et d’élaborer de nouvelles pistes de recherche. Ils sont si importants que notre façon de travailler est parfois modelée par l’ergonomie du logiciel de généalogie.
En 2015, Heredis équipait la moitié des généalogistes francophones. Deux autres acteurs sortaient du lot : Généatique (qui semblait perdre des parts de marché entre 2012 et 2015) et Geneweb (logiciel de Geneanet) semblant lui, au contraire, progresser sur la même période.
J’ai pensé en début d’année qu’il était désormais temps de réactualiser cette étude, et d’ajouter des éléments permettant d’améliorer sa qualité et de mieux comprendre les habitudes des généalogistes.
Cette nouvelle étude vise donc à répondre aux deux questions suivantes :
- Quels sont les logiciels de généalogie les plus utilisés en 2017 ?
- Quels sont les sites sur lesquels les généalogistes publient le plus les résultats de leurs recherches en 2017 ?
Pour comprendre
Une étude donne toujours des résultats, et des résultats qui sont toujours vrais. Cependant, une étude s’interprète et on ne peut pas tout faire dire aux statistiques. Dans ce paragraphe, j’essaye de façon la plus simple et la plus claire possible (merci d’ailleurs à François Frémeau pour sa relecture bienveillante) de vous donner les clefs pour mieux interpréter et donc mieux comprendre cette étude.
Cela dit, cette partie reste quand même un petit peu technique, et je comprendrais bien que vous souhaitiez plutôt aller directement aux résultats.
Aller directement aux résultats
Revenons donc à nos moutons, et présentons un peu le type d’étude et les difficultés qu’elle génère pour que vous puissiez bien interpréter les résultats. L’étude présentée dans cet article est une photographie prise à un moment donné. Les paragraphes ci-dessous tenteront de vous éclairer sur les sujets suivants :
Une photographie ?
La méthodologie de cette étude est celle d’une étude descriptive transversale, c’est-à-dire qu’il s’agit d’une “photographie” à un instant t des usages généalogiques d’une population définie. C’est la façon même de mener l’étude qui contraint cela. On recueille des données à un instant t et puis on ne réalise pas de suivi pour savoir si vous avez modifié vos habitudes.
Par contre, de la même façon que l’on peut comparer deux photographies séparées de plusieurs années pour mettre en évidence une évolution de l’individu photographié, il est également possible de comparer plusieurs études descriptives transversales menées sur plusieurs années pour dégager une tendance de l’évolution des usages au fil du temps. La seule condition, c’est que le “Qui ?”, donc la population étudiée (ou photographiée), soit la même (ou une population ayant des caractéristiques comparables).
Le plus facile : Quand ?
Cette étude descriptive transversale a été menée entre les mois de février et de mars 2017. Au sens strict, elle n’est donc déjà plus valable au moment de la publication des résultats, certains généalogistes ayant peut-être changé de logiciel entre temps. Cela dit, on peut se dire que cet arrêt sur image sera valable pour l’année 2017.
Comment ?
Les données ont été recueillies à l’aide d’un sondage disponible en ligne entre le 6 février 2017 et le 31 mars 2017. Les données ont été analysées à l’aide d’un logiciel dédié aux statistiques, IBM SPSS Software, début avril 2017 par un seul intervenant, qui n’est pas un spécialiste des statistiques.
Cela doit vous alerter sur plusieurs choses : d’abord l’étude ne peut répondre qu’aux questions présentes dans le sondage, cela parait évident mais parfois on a envie de faire des déductions logiques qui, d’un point de vue purement statistique, seront fausses. Ensuite, je ne suis pas un expert des statistiques, ni des sondages d’opinions, ni de rien de tout ça. Du coup, tout ce qui est dit ici est forcément sujet à caution, rien n’ayant été validé par un véritable expert. Si je me trompe dans l’interprétation, personne ne me dira que je me suis trompé…
Le plus dur : Qui ?
On annonce des résultats, OK, mais pour qui sont-ils valables ?
C’est la question la plus difficile dans ce type d’étude. On le voit tous les jours en période électorale : des sondages annoncent des “résultats”, mais sont-ils réellement représentatifs des électeurs ? Et s’ils sont représentatifs des inscrits sur les listes électorales, comment être sur qu’ils vont être représentatifs de ceux qui vont effectivement se déplacer pour voter le Jour-J ? Un casse-tête sans fin.
Pour aborder la problématique dans notre contexte, et pour que vous ayez une idée précise de la population pour qui nous pourrons effectivement extrapoler les résultats, il faut que je vous présente trois populations différentes, mais liées : La population “cible” , la population “source” et l’ “échantillon” analysé.

On rappelle également notre question principale : “Quels sont les logiciels de généalogie les plus utilisés en 2017 ?” Sous entendu par “les généalogistes” . “Les généalogistes” est donc la population “cible” à laquelle on aimerait pouvoir extrapoler les résultats. Tous les généalogistes de la planète, et même au-delà.
Le meilleur moyen pour y arriver serait d’interroger tous les généalogistes de la planète, mais, évidemment, c’est impossible.
La seule alternative est donc d’étudier un échantillon de cette population “cible”. Mais un échantillon, ça se prend quelque part, ça se prend dans ce que l’on appelle une population “source” (c’est la “source” qui fournit l’échantillon).
Idéalement, il faudrait que la population source soit la même que la population cible. C’est possible quand on connait précisément la population cible, par exemple tous les inscrits sur les listes électorales d’une commune. Si je veux faire un échantillon représentatif de la liste, il suffit de tirer au hasard un certains nombre d’individus de la liste. Cette liste est alors la cible (on veut un échantillon représentatif de cette liste) et la source (on constitue l’échantillon depuis cette liste).
Dans notre cas, c’est impossible, il n’existe pas de fichier international de tous les généalogistes. Donc population cible et population source sont deux populations forcément différentes et ainsi notre échantillon ne pourra pas être représentatif de la population “cible” , mais ne sera représentatif que de la population “source” .
Les résultats ne peuvent donc pas s’appliquer à tous les généalogistes.
D’autant plus que le “Comment ?” (un sondage en français, publié en ligne, dont l’adresse URL était diffusée sur les réseaux sociaux puis relayée à partir d’un seul compte twitter ou facebook, le mien) sélectionne énormément la population source qui peut prétendre répondre au sondage :
- Une population Francophone (sondage en français)
- Une population connectée (sondage en ligne)
- Une population en contact (de près ou de loin) avec moi
Les résultats ne peuvent donc s’appliquer qu’à cette population source, qui ne possède pas de caractéristiques connues. On ne sait pas qui compose cette population source de façon certaine.
Et c’est pourquoi j’ai demandé dans le questionnaire que l’on renseigne des informations démographiques pour pouvoir définir les contours de cette population source étudiée : âge, sexe, lieu de résidence, pour avoir une idée globale du “Qui ?” est sur la photographie.
J’ai donc pris le problème en sens inverse : j’ai défini les caractéristiques de mon échantillon, et je ne peux parler que pour cet échantillon-là. Éventuellement, maintenant que les caractéristiques de cet échantillon sont connus, on pourrait extrapoler les résultats à toute population qui partage exactement ces caractéristiques. Et encore, ce serait pas forcément juste d’un point de vu mathématique.
Pour résumer :
Je sais que la façon de poser la question sélectionne la population que j’étudie : la population que j’étudie n’est pas la communauté de tous les généalogistes, et je ne peux pas extrapoler mes résultats à tous les généalogistes.
J’ai défini les caractéristiques des généalogistes de l’étude pour savoir quel est le profil du généalogiste qui a répondu au sondage, pour avoir une idée du “Qui ?”.
Cet échantillon de généalogistes qui a répondu au sondage est, par sa taille, représentatif des généalogistes qui sont susceptibles, de lire cet article. Ainsi, ces résultats vous correspondent. C’est une évidence statistique. Et c’est la seule chose dont on soit sûr.
Le Quoi ?
Ce que je cherche à évaluer principalement est très simple :
- Le logiciel principal utilisé par chaque répondeur
- les sites sur lesquels chaque répondeur dépose le fruit de ses recherches
L’analyse statistique permet d’étudier des usages secondaires (si vous utilisez Heredis, quelle version est utilisée ? Le profil des généalogistes utilisant Heredis est-il différent de celui des généalogistes utilisant Geneanet ?). En gardant toujours à l’esprit que les analyses secondaires sont fait sur un échantillon d’un échantillon : ils sont donc forcément moins fiables que les questions principales !
Ainsi, cette étude permet de savoir quels sont les logiciels de généalogie les plus utilisés entre février et mars 2017 par les généalogistes qui sont susceptibles de lire ce blog (francophones, connectés, et dans “mon” réseau de généalogistes étendus).
Les Résultats
Les caractéristiques des généalogistes répondeurs
Nous venons de voir précédemment que la seule chose dont on soit sûr concernant les répondeurs, c’est qu’ils correspondent aux lecteurs du blog (donc qu’ils vous correspondent). Entre février et mars 2017, 1039 généalogistes ont répondu à notre sondage. Parmi ces généalogistes :
- 55,7% sont des hommes
- 91,1% résident en France
- et l’âge moyen est de 55 ans
Le plus jeune généalogiste a 13 ans et le plus expérimenté, 88. Les dames sont discrètement plus jeunes que les messieurs. Le groupe “France” partage exactement les mêmes caractéristiques que le “Total”, ce qui fait que tous les chiffres mentionnés dans cette étude sont également valables pour le groupe “France” (Infographie 1). A l’inverse, les résultats ne sont pas extrapolables aux autres pays mentionnés, car le nombre d’individus de ces groupes est trop faibles pour en tirer des conclusions.
Infographie 1 : Les caractéristiques des Généalogistes
Les logiciels de généalogie les plus utilisés en 2017
Sans surprise, c’est de nouveau le logiciel Heredis qui est le logiciel le plus utilisé par les généalogistes en 2017 : il équipe la moitié (49,9%) des généalogistes. Suivent ensuite Généatique très loin derrière (13,8%) et Geneanet (13,3%) (Tableau 1 et Infographie 2).
Infographie 2 : Les logiciels de Généalogie les plus utilisés en 2017
Tableau 1 : Tous les Logiciels Utilisés par les Généalogistes
Logiciels |
Fréquence |
Pourcentage |
Ages! |
1 |
0,1% |
Ahnenblatt |
1 |
0,1% |
Ancestris |
84 |
8,1% |
Ancestrologie |
11 |
1,1% |
Ancestromania |
2 |
0,2% |
Ancestry online |
4 |
0,4% |
BasGen |
1 |
0,1% |
Brother’s Keeper |
5 |
0,5% |
ELIE |
14 |
1,3% |
Family Tree Builder |
20 |
1,9% |
Family Tree Maker |
3 |
0,3% |
Familysearch.org |
3 |
0,3% |
Filae |
8 |
0,8% |
GAOPerso |
4 |
0,4% |
GEDitCOM |
1 |
0,1% |
Geneanet |
138 |
13,3% |
Geneatique |
143 |
13,8% |
Geneweb (local) |
4 |
0,4% |
Geni.com |
2 |
0,2% |
GenoPro |
2 |
0,2% |
Gramps |
17 |
1,6% |
Heredis |
518 |
49,9% |
Le Genealogiste Deluxe – Micro Application |
6 |
0,6% |
Legacy Family Tree |
2 |
0,2% |
Logiciel Maison |
1 |
0,1% |
MacFamilyTree |
3 |
0,3% |
MacGenealogie |
1 |
0,1% |
Microsoft Excel |
3 |
0,3% |
MyHeritage online |
3 |
0,3% |
ohmiGene |
3 |
0,3% |
PAF |
5 |
0,5% |
Pas de Logiciel |
4 |
0,4% |
Reunion for Mac |
3 |
0,3% |
The Next Generation of Genealogy Sitebuilding |
1 |
0,1% |
Visual Genealogie |
1 |
0,1% |
Webtrees |
14 |
1,3% |
Win Genealogic |
2 |
0,2% |
Winfamily |
1 |
0,1% |
Total |
1039 |
100% |
L’évolution entre 2012 et 2017 (Tableau 2 et Infographie 2) est marquée par :
- Une parfaite stabilité de la part de marché d’Heredis
- Une baisse constante et progressive de la part de marché de Généatique
- Une égalité quasi parfaite entre Geneanet et Généatique
- L’arrivée d’un quatrième acteur significatif : Ancestris. En effet, quasi inexistant il y a cinq ans, il représente actuellement 8% du parc logiciel généalogique (il est néanmoins possible d’une surestimation de leur part de marché au vu d’une anomalie statistique un peu complexe à détailler ici).
Tableau 2 : Évolution de la part de marché des principaux logiciels de généalogie entre 2012 et 2017
Logiciels |
2017 |
2015 |
2012 |
Heredis |
49,9% |
51,3% |
48,2% |
Geneatique |
13,8% |
17,9% |
20,0% |
Geneanet |
13,3% |
15,7% |
11,8% |
Ancestris |
8,1% |
0,5% |
NC |
Autres |
15,0% |
14,6% |
20,0% |
D’un point de vue démographique, les utilisateurs d’Heredis sont parfaitement dans la moyenne de l’étude (Tableau 3 et Infographie 2). Ce sont donc majoritairement des hommes (54%) de 55 ans. Ils sont très fidèles à leur logiciel car 83% disposent d’une version récente, c’est-à-dire de moins de deux ans (Tableau 4A). Les utilisateurs de Généatique sont un peu plus âgés peut-être, et sont eux aussi particulièrement fidèles (76%) à leur logiciel (Tableau 4B). Les utilisateurs de Geneanet, par contre, sont plus jeunes (51 ans) et majoritairement des femmes (60%) quand les utilisateurs d’Ancestris sont des hommes (88%) d’environ 60 ans (Tableau 3 et Infographie 2).
Tableau 3 : Caractéristiques Démographiques selon les logiciels
|
Nombre |
Hommes |
Femmes |
Âge Moyen |
Heredis |
518 |
280 |
238 |
55,1 |
|
49,9% |
54,1% |
45,9% |
|
Geneatique |
143 |
70 |
73 |
58,2 |
|
13,8% |
49,0% |
51,0% |
|
Geneanet |
138 |
55 |
83 |
51,6 |
|
13,3% |
39,9% |
60,1% |
|
Ancestris |
84 |
74 |
10 |
59,7 |
|
8,1% |
88,1% |
11,9% |
|
Autres |
156 |
100 |
56 |
|
|
15,0% |
64,1% |
35,9% |
|
Total |
100,0% |
55,7% |
44,3% |
55,0 |
Tableau 4 : Version utilisés des logiciels Heredis (A) et Geneatique (B)
A
Version |
N |
% |
Heredis 2017 Windows |
235 |
45% |
Heredis 2015 |
142 |
27% |
Heredis 2017 pour Mac |
55 |
11% |
Heredis 2014 |
34 |
7% |
Heredis 11 |
15 |
3% |
Heredis 12 |
8 |
2% |
Heredis 13 |
8 |
2% |
HEREDIS v.10 |
7 |
1% |
non communiqué |
7 |
1% |
Heredis 9 |
3 |
1% |
Heredis 2001 |
1 |
0% |
Heredis 7 |
1 |
0% |
Heredis 98 |
1 |
0% |
Heredis Mac X.3 |
1 |
0% |
Heredis 2016 |
0 |
0% |
B
Version |
N |
% |
Généatique 2017 |
64 |
45% |
Généatique 2016 |
44 |
31% |
Généatique 2014 |
12 |
8% |
Généatique 2015 |
12 |
8% |
Généatique 2013 |
5 |
3% |
Généatique 2011 |
2 |
1% |
non communiqué |
2 |
1% |
Généatique 2010 |
1 |
1% |
Généatique 2012 |
1 |
1% |
Les sites de généalogie sur lesquels les généalogistes publient le plus leurs résultats de recherches en 2017
Geneanet est le site le plus utilisé pour le partage de son arbre généalogique. En effet, 78% des généalogistes l’utilisent (Tableau 5 et Infographie 3). Suivent ensuite Heredis Online (23%), Filae (7.8%) et Généatique (7,4%).
Mais ce qui est surtout intéressant à analyser, c’est que les utilisateurs d’Heredis Online et de Généatique sont quasiment exclusivement des utilisateurs des logiciel Heredis (93%) et Généatique (81%) respectivement et que l’importance de ces sites est donc essentiellement due à la popularité de leurs logiciels. En réalité, ils ne fédèrent pas au-delà du cercle des utilisateurs du logiciel (Infographie 3).
Notons également que plus de 11% des généalogistes ne partagent par leurs arbres généalogiques créés (ce que je trouve dommage personnellement) et 3,3% des généalogistes ont décidé de créer leur propre site internet de partage (Infographie 3).
Infographie3 : Les sites de généalogie sur lesquels les généalogistes publient le plus leurs résultats de recherches en 2017
Entre le moment de l’étude et la publication des résultats, Laurent Monpouet a réalisé une étude similaire sur son blog de généalogie. La méthodologie était un peu différente, mais les résultats sont globalement corroborés. On retrouvait Geneanet large leader (91%) suivi d’Heredis Online (13%) et de Filae (9%). Les principales différences viennent de la part d’utilisateurs utilisant MyHeritage (10% dans son étude contre 2.1% dans la mienne) et FamilySearch (5% dans son étude contre 0,8% dans la mienne) qui sont probablement liées à des différences de nos groupes initiaux. Mais la tendance reste tout de même équivalente, avec un Geneanet hégémonique.
Tableau 5 : Les sites sur lesquels vous partagez votre généalogie
Site |
N |
% |
Geneanet |
811 |
78,1% |
Heredis Online |
242 |
23,3% |
Aucun |
117 |
11,3% |
Filae |
81 |
7,8% |
Geneatique |
77 |
7,4% |
Site personnel |
34 |
3,3% |
Ancestry |
19 |
1,8% |
MyHeritage |
22 |
2,1% |
Autres |
11 |
1,1% |
FamilySearch |
8 |
0,8% |
Ancestris |
6 |
0,6% |
Geni |
5 |
0,5% |
WikiTree |
4 |
0,4% |
Brother’s Keeper |
2 |
0,2% |
Geneachtimi |
2 |
0,2% |
Conclusion
Heredis reste le logiciel principal de la moitié des généalogistes, stable sur 5 ans. Geneatique continue sa baisse de part de marché et est rejoint par Geneanet à un peu plus de 13%. En ce qui concerne le partage généalogique, c’est sur Geneanet (septième plus gros site de généalogie mondial ) que près de 80% des généalogistes partagent leurs généalogies. Les autres sites internet sont très loin derrière.
Remerciements
Merci aux 1039 généalogistes qui ont répondu au sondage, c’est super cool de votre part.
Une mention spéciale à François Frémeau qui a relu la partie “Pour Comprendre” et qui m’a aidé à être compréhensible. J’espère que c’est réussi.
Une mention spéciale à Claire Roubey qui a relu et corrigé à de très nombreuses reprises toutes mes infographies et qui m’a poussé à faire ce que je pouvais faire de mieux. J’espère que c’est réussi.
Références
36 comments
Bonjour
apres une dizaine d’Années a faire mon arbre sur excel (je compte juste pour ma famille et proche) plus de 500 personnes. recherches avec minimum 2 actes. le passage a un logiciel en ligne etait devenu indispensable pour me retrouver. j’ ai donc choisi Geneanet . pourquoi?
tout simplement car étant dans la partie gratuite cela ma souvent aider quand j ‘etais dans une impasse. Mon arbre peut servir a beaucoup de personnes. il est vrai que beaucoup font du recopiage. je trouve cela navrant de ne pas verifier . le fait de trouver des arbres similaire m’a eviter de mauvaises directions.et permis de modifier le mien. Jai aussi par l intermediaire de Geneanet fait la connaissance de personnes ayant un arbre parallèles au miens. jai même retrouvé une branche d’un frere de mon arrière grand pere. Tous cela pour dire que le partage est primordiale. Parlons de la partie payante. je trouve cela chère quand on a deja passé prés de 15 ans de recherches. nos recherches vont aider beaucoup de personnes et par conséquent sont un plus pour les sites de genealogie. quand on donne notre arbre nous pourrions avoir un avantage (un prix special) .
Retraité 72 ans, après avoir travaillé avec MyHeritage puis Heredis2015Pro, je travail depuis début janvier 2018l avec Ancestris, c’est une perle si on sait la dompter. Compatible 100% Gedcom je cherchais un logiciel pour faire la recherche sur le patronyme et un nom d’acteur et gérer plusieurs titres, il fait tout cela, beaucoup plus, il est Français est gratuit. La réactivité de l’équipe de développeurs est tout simplement stupéfiante, vraiment à tester.
J’ai besoin d’un conseil concernant ma généalogie
Je suis actuellement sur GENEANET PREMIUM mais aux journées de généalogie de Toulouse en novembre 2017, j’ai appris que le site ne nous appartient pas donc conseil utiliser un logiciel
J’ai vu que dans votre étude, les logiciels les plus utilisés sont HEREDIS et GENEATIQUE c’est ce qu’on nous a présenté pendant la 2ème journée
J’aimerais savoir si les utilisateurs ont des raisons spéciales de préférer un logiciel( facilité d’utilisation par exemple) et que savez vous du nouveau logiciel ANCESTRIS
Je voudrais savoir aussi au cas où je choisis un logiciel si je peux transférer mes données de GENEANET au logiciel
Bonsoir,
je découvre votre étude et je vous félicite pour votre travail et vos commentaires
J’aimerai vous signaler que j’ai abandonné Filae (ex généatique) car leur logiciel ne peut fonctionner correctement qu’avec Mozilla!!!!!!!
Découverte de ce jour le 30 Janvier 2018, après avoir fait de nombreuses tentatives depuis 3 jours et utilisé la hot line.
J’avais arrêté de travailler avec eux car je suis parti à l’étranger pendant une longue période et , malgré ma demande, les prélèvements en banque ont continué. Il a fallu sortir la grosse artillerie pour obtenir gain de cause mais en aucun cas je fus remboursé. J’ai abandonné!!
Pour finir, il faut dire à tous les généalogistes de ne pas recopier bêtement le travail des autres, c’est bourré d’erreurs. Si les sources ne sont pas indiquées, vérifier immédiatement.
Très cordialement
jean-pierre
Bonjour,
Il est bizarre que votre étude ne fasse pas apparaître MyHéritage ! Avez-vous une explication
L’étude cible à 91% des français, et je pense que MyHeritage est très peu implanté en France. Au total, le Family Tree Builder regroupe 20 utilisateurs dans cette étude, et MyHeritage online 3 utilisateurs, soit un peu plus de 2% des répondeurs.
J’ai participé au XXIV ème salon des généalogistes au Havre sur le stand de MyHeritage en tant qu’utilisateur et votre perception ou votre panel ne semble pas correspondre aux informations que j’ai pu avoir. Outre le fait d”avoir rencontré pendant 3 jours en Normandie de nombreux utilisateurs et prospects de MyHeritage, il m’a été donné le nombre d”utilisateurs en France qui serait de 2 millions. Si vous voulez le nombre dans le monde allez sur le site de MyHeritage et vous verrez que cela se compte en dizaine de millions.
Un comparatif qui n’intègre pas les logiciels de généalogie internationaux ayant une version française me semble que très partiel.
Les produits que vous cités sont distribués par des sociétés qui n’ont pas la même capacité financière que des sociétés comme MyHeritage dans le cadre de la mondialisation et l on peut se poser la question de leur évolution.
Bonjour,
c’est aujourd’hui que j’ai pris connaissance de l’existence de votre blog pour la 1ère fois via l’article publié dans La Pomme concernant les sites utilisés en généalogie.
J’ai trouvé votre article intéressant, mais il semble y manquer une information essentielle, à savoir la raison pour laquelle le généalogiste concerné a choisi tel ou tel logiciel. Ce n’est certainement pas uniquement une question d’âge. Une description comparative des différents logiciel pourrait être utile. Ou alors ce point figure-t-il dans un autre article?
En ce qui me concerne je suis entrain de terminer la construction d’un arbre généalogique de la famille, l’arbre comprenant pour le moment environ 1200 personnes. Depuis des années, j’utilise GENEATIQUE, chaque année la nouvelle version. J’ai encore quelques branches à compléter, suite de quoi je le mettrai sur GENEANET.
Cordialement
A propos de Mastodon
En ce qui me concerne, je n’ai pas pu m’inscrire sur l’instance de la quadrature du net (le mail de confirmation n’arrivait pas). L’adresse c’est https://mamot.fr/about
Par contre, aucun souci sur l’instance de Framasoft :
https://framapiaf.org/about
Dès que je vous vois passer je m’abonne…
Heredis et Généatique sont (pour le moment) totalement inconnus en dehors de la France. Même dans les pays étrangers francophones, il n’est pas connu. On peut s’en rendre compte sur Geneanet (qui a une vocation internationale puisqu’existant en plusieurs langues) en regardant les forums en langue étrangère. Je pense que c’est une précision importante.
Au plaisir de vous voir sur Mastodon…
Tu as raison.
Les généalogistes représentés ici sont clairement des français (91,1%) et donc pas du tout extrapolables au-delà.
Je connais mastodon, mais la dernière fois il m’était impossible de m’inscrire. Je vais y refaire un tour.
Intéressant ce commentaire. Lors de ma dernière présentation de GenoPresse au Centre Généalogique des Laurentides à St-Jérôme (Québec), une bonne moitié des auditeurs (une 50aine de personnes dans la salle) utilisaient Heredis.
Vous seriez surpris pas le nombre d’utilisateurs d’Heredis dans cette Province francophone, même si, certainement, il n’y soit pas numéro un ici 🙂